Le sujet
Dans son plan national intégré énergie-climat (PNIEC) remis à la Commission européenne, la France insiste sur le maintien d’objectifs en « énergies décarbonées » pour reconnaitre la participation du nucléaire, mais fait des concessions sur les renouvelables dans une période d’instabilité politique.
Les parties prenantes
Avec le Plan national intégré énergie-climat (PNIEC) remis par la France à la Commission européenne le 10 juillet, il y a bien un « cadre de référence officiel à l’horizon 2030 ».
Plusieurs textes réglementaires, confirmant le déploiement de capacités renouvelables attendues depuis longtemps et bloqués par la crise politique, ont été promulgués.
En Europe, « un problème de confiance industrielle s’installe », au regard notamment du choix, la semaine dernière, d’un constructeur sud-coréen pour la construction de futurs réacteurs nucléaires en Tchéquie.
Où en sommes-nous
En perte d’influence à Bruxelles, Paris maintient tout de même son cap européen.
Notre implication est portée par notre foi dans la capacité de changement de nos sociétés et par la nécessité d’agir pour soutenir un changement qui n’est plus une option, mais une ardente nécessité.